Végétation et Habitats

Végétation et habitats

La région élargie du Golden Horseshoe connaît une croissance rapide, et Metrolinx s’engage à construire un système de transport en commun durable qui restaure l’environnement naturel. Dans le cadre de la plus grande expansion du transport en commun de l’histoire canadienne, nous devons abattre certains arbres et arbustes pour accueillir le nouveau réseau de transport en commun. Pour compenser cela, en suivant une approche fondée sur la science pour la gestion de la végétation et la restauration écologique, Metrolinx a établi une norme solide pour la restauration des habitats et le remplacement des arbres.

Apprenez-en davantage sur les lignes directrices sur la végétation de Metrolinx

La version complète du rapport est disponible sur demande à vegetation.info@metrolinx.com.

Depuis 2020, Metrolinx a:

Nouveaux arbres et arbustes

Planté plus de 97 000 nouveaux arbres et arbustes (36 000 arbres et 61 000 arbustes)

Habitats pour chauves-souris

Installés 168 habitats pour les chauves-souris dans la région du Grand Toronto

Plantes d’origine locale

Obtenu toutes les plantes auprès de pépinières de plantes indigènes locales, y compris la serre Kayanase, une entreprise autochtone associée aux Six Nations de la rivière Grand

istribution d’arbres et d’arbustes

Distribué plus de 3 000 arbres et arbustes indigènes aux membres de la communauté

Planter plus d’arbres

Metrolinx s’engage à s’assurer que plus d’arbres sont plantés que retirés dans notre réseau. Pour chaque arbre abattu, nous en plantons parfois jusqu’à 50 pour les remplacer, selon la taille, l’emplacement et la santé de l’arbre. Metrolinx se concentre également sur la protection des espèces en péril, comme les noyers cendrés. Metrolinx s’efforce de planter 40 noyers cendrés pour chaque noyer cendré retiré. Dans certains cas, jusqu’à 200 nouveaux noyers cendrés peuvent être plantés par arbre retiré.

Apprenez-en davantage sur la compensation et le retrait des arbres

Comment nous gérons la végétation autour de nos projets de transport en commun – Guide sur la végétation de Metrolinx

Protéger les écosystèmes grâce à des pratiques durables

Reconnaissant que la perte de végétation peut entraîner une incidence sur les écosystèmes, avec la mise à jour des Lignes directrices sur la végétation de 2025, Metrolinx accorde la priorité à l’évitement des répercussions sur les environnements sensibles. Lorsque le retrait d’arbres est nécessaire, nous minimisons les perturbations, atténuons les effets et remplaçons les pertes uniquement en dernier recours. Cette mise à jour des lignes directrices signifie qu’à l’avenir, toute incidence sur les habitats fauniques, comme les prairies, les zones humides et les forêts, sera compensée à un ratio de 1:1 pour maintenir les services écologiques et l’habitat faunique.  Au-delà de la plantation d’arbres, Metrolinx se concentre également sur la reconstruction des habitats pour les espèces en péril comme les chauves-souris, les oiseaux et les poissons.

De plus, nous réutilisons 95 % de la végétation retirée comme paillis dans les corridors de Metrolinx, tandis que les 5 % restants sont utilisés dans le cadre de projets communautaires, de la restauration d’habitats ou de l’art, réduisant ainsi les déchets, tout en soutenant les écosystèmes locaux.

Découvrez la façon dont Metrolinx aide les chauves-souris en péril en Ontario

Établir des partenariats pour améliorer les écosystèmes

Notre approche consiste à collaborer avec les communautés autochtones, les municipalités, les autorités de conservation et les organisations environnementales de la région pour améliorer les écosystèmes locaux. Nous veillons à ce que les efforts de remplacement des arbres et de la végétation soient conformes aux objectifs environnementaux locaux et contribuent à la durabilité à long terme. En collaborant avec ces groupes, nous dépassons les règlements municipaux visant à protéger et à restaurer les espaces verts.

Incorporer les connaissances autochtones

Metrolinx a mis à jour ses Lignes directrices sur la végétation en fonction des consultations et de la collaboration avec les communautés autochtones, soutenant l’inclusion des visions du monde et des connaissances autochtones pour orienter notre planification et nos efforts de restauration. 

Les modifications à nos pratiques de remplacement, comme l’augmentation des ratios de remplacement d’arbres et l’élargissement des efforts de plantation de noyers cendrés, sont fondées sur les recommandations des communautés autochtones. Cela comprend:

  • Augmenter le ratio de remplacement des arbres
  • Élargir les efforts pour remplacer les noyers cendrés
  • Prolonger la surveillance de la restauration sur site et hors site
  • Adopter une approche plus holistique de la planification de la restauration
  • Minimiser la perte environnementale dès le début du cycle de vie du projet
  • Tenir compte du changement climatique et utiliser des méthodes de restauration avancées pour garantir la santé à long terme des écosystèmes